Dernières nouvelles de notre Mère

Les poètes ont toujours raison. Lamartine dès le milieu du 19ème siècle dans son poème

« Eternité de la Nature, brièveté de l’Homme » évoquait sans détour l’illusion de puissance de l’homme qui voulait dompter la Nature.

Début du 21ème  siècle force est de constater que l’homme et ses ambitions disparaitront, la Terre malgré tout survivra.

Quelle est donc notre place sur cette terre que nous balafrons et malmenons en tous sens.

Elle vacille, titube, chancelle.

 

Jusqu’à quand ?